Claude Dim 18 Juil - 20:22
Ca ferait aussi un sujet, tiens, les mères qui ne veulent voir qu'un génie dans leur fils ( surtout leur fils ), même s'il a violé et assassiné plein de victimes.
Au tribunal, elles pleurnichent en trouvant injuste qu'on " parle mal " de leur saloperie de progéniture qu'elles ont donné en cadeau à la société. Elles essaient de prouver que c'était un " charmant petit garçon aimant, et.c.", ses copains direont qu'il était " sans histoire, toujours le sourire, un mec bien ", bref, il y a un déni de la culpabilité ou de la responsabilité d'un individu venant de sa mère, souvent...
J'ai supporté quanrante ans de classe des mères comme ça, elles étaient chiantes au possible. Quand leur sale morpion foutait le bran dans un magasin, elles agressaient les gens qui réclamaient la paix. Elles trouvaient le moyen de faire dire à un psy que c'était un " hyperactif " et elles réclamaient qu'" on " respecte sa différence ". Il aurait bientôt fallu lécher le cul du morpion infernal mais génial.
J'ai remarqué que lorsqu'il y a un procès pour assassinat, l'histoire des victimes n'intéresse personne, mais tout le monde se passionne pour le vécu du bourreau.